Les chansons d’Equinoxe sont comme un refuge, entre le jour et la nuit, quand le temps est suspendu et que l’on se rencontre, enfin, au-delà des apparences.

Surgit alors l’envie de se dire pour de vrai, de quitter le silence - d’oser ces mots, comme des étoiles dans la nuit.

Des mots qui explorent l’intériorité, qui dénoncent les systèmes de dominations, qui disent le deuil, la résilience, la force de l’amour et de la vie, qui murmurent, rêvent, contemplent, jouent, s’émerveillent. A nu, la voix d’Equinoxe se drape d’un quatuor orchestré, dans une musique acoustique, organique. Un piano qui longe les rives debussystes et fauréennes, un violoncelle tour à tour chaleureux, lyrique, rythmique, une basse et des percussions acoustiques, qui colorent et soutiennent l’ensemble. Aux références de la chanson intimiste francophone - de Romain Didier à Thibaud Defever, de Coline Rio aux chansons piano-voix de Zaho de Sagazan - se mêlent les sonorités de la musique française du tournant du XXème siècle et du chant carnatique, musique traditionnelle de l’Inde du Sud.

Lauréate du Grand Tremplin Auteurs-Compositeurs de la Chanson Francophone en 2023 (Festival Brassens, Charavines), Équinoxe prépare son premier EP, Petite fille, à paraître courant 2026.